Peut être ici...

Emilie avait longtemps marché et elle n'en pouvait plus. Elle posa ses mains sur son poingt de coté et se plia en deux, en prenant de longues respirations. Après quelques minutes, elle releva la tête et regarda autour d'elle.
Elle s'était perdue en pleine fôret. Il était tard, environs 23h.

*Quelle idée d'avoir voulu prendre ce chemin... où suis-je maintenant ?*

De gros et grands arbres se dressaient devant elle. Parfois, en marchant, Emilie se prennait les pieds dans les racines et se rattrapait de justesse. La végétation devenait de plus en plus dense et de moins en moins accueillante. Souvenr des épines griffaient les bras de la jeunne femme. Soudain, sa cheville se posa de travers sur une pierre, Emilie tomba, sa cheville était foulée.

aiiiheuuu ! pfffff ! Foutue cheville et foutue forêt !

Elle se releva tant bien que mal et reprit sa marche, de plus en plus déséspérée. Elle avait froid, un vent glacial faisait voler ses cheveux et les posait délicatement sur son visage trempé de larmes.

Enfin, elle arriva sur une clairière. Un immensa manoir se dressait et montrait sa silhouette encore plus noir que le ciel.
Emilie s'adossa à un arbre, secha ses joue et se donna du courage pour les quelques pas restant.

*allez ma fille ! On y va !* s'ordonna-t-elle intérieurement.

Puis elle avança. Elle fut surprise de trouver une jeune femme devant le portail, assise sur des valises. Elle la dévisagea longuement. Elle semblait sympathique par son petit air hésitant. Mais sa paleur selblait se quereller avec celle de la lune. Sur cette peau se détachaient deux grands yeux... A ce moment là, Emilie plissa les yeux... Les yeux de la jeune femme en face d'elle était rouges...

Euh... Bonjour. Je m'appelle Emilie, je suis désolée mais... Je me suis blessée dans la forêt... je vous en pris, aidez moi. Puis-je passer la nuit ici ?

Elle marqua une longue pose.

Qui êtes vous ?

Emilie sourit à la jeune femme. Toutes deux devaient être du même âge à peu de chose près. La timidité et la gène Elfyra attendrit Emilie. Peut être pourraient-elles bien s'entendre ?

Nous sommes toutes deux inconnues à cette maison alors. Je veux bien de ton aide...

Emilie s'approcha encore un peu d'Elfyra. De près, elle pu la voir encore plus distinctement. Elle avait un visage très régulier, des traits fins. Comme si ce visage avait été déssiné à la main, par un léger coup de crayon appliqué. En fait, Elfyre rappellait à Emilie un livre qu'elle avait lu.
*Comment cela s'appellait déjà ? Il y avait Bella et...Edward ! Mais qu'est ce que j'ai à parler de bouquins moi ?!*

Les deux jeunes femmes montèrent lentement les marches qui menaient au manoir. Emilie admira la porte immense devant elles. Elle était sombre et peu engagente à vrai dire.
Refermant son poingt pour faire plus de bruit, Emilie donna trois grands coups dedans pour prévernir les abitants de leur présence.
Pas de Réponse... Personne ne vint... Mais la porte s'entrouvrit, dans un grincement stridente.

Euh... On entre ? Puisque personne ne nous ouvre... ?

[dit moi serai-ce fascination se magnifique livre avec bella et edward? ^^]

Elfyra lui sourit un peu plus franchement.

Je te remercie de me faire confiance.

Dit elle tout en l'observant discrètement: Elle avait des yeux magnifiques, d'un bleus tellement profonds... Au fond de ceux si, des petites étincelles semblaient briller par millier, se qui lui donnait un petit coté espiègle. Ses joues aussi, elles étaient légerment colorées par sa course et ses larmes. Depuis combien de temps les siennes n'avaient pas eu cette couleur?...
arrêtant là son observation, elle lui passa un de ses bras au dessus de ses épaules et l'aida à monter les marches qui menait à la porte imposante. Emilie frappa. Elfyra peu rassurer aprouva malgré tout d'un signe de tête. Après tout elle n'allaitpas reculer maintenant.

Alons y... On ne peut plus vraiment reculer...

Dit elle dans un souffle.

[ Héhé, je vois que notre culture vampiresque est la même Vivement que le quatrième tome sorte ! ]

Elfyra et Emilie pénétrèrent à l'intérieur, se dirigeant dans l'obscurité dans l'éspoir de trouver un endroit chaud et confortable...

[je propose un changement de lieux... suite dans le grand hall]