Une grande porte de chêne se trouvait au fond du couloir. Si, par mégarde, un innocent visiteur l'avait ouvert, il aurait alors découvert un vestibule lambrissé d'acajou, avec un parquet impeccablement ciré recouvert d'un tapis de velours rouge. Sur les mur, éclairé par des lampes à naphte dans leur bulle de verre, des tableaux. Des portraits, des paysages... Le Manoir... Au bout de ce vestibule, un tenture rouge sombre. En la soulevant, on atteignait Une pièce circulaire meublé de fauteuil confortable, avec un vase rempli de roses serrées sur une table basse, à l'opposé de la vaste cheminée de pierre. Cette pièce avait aussi une haute fenêtre en ogive, avec un rebord suffisant pour s'installer contre la vitre.
Il semblait qu'il n'y avait pas d'autres issue, mais un familier connaissait le moyen d'ouvrir une porte dérobée qui menait au reste de appartements du Marionnettiste. Mais pour cela, il fallait traverser un couloir... 2troit et haut de plafond, peu éclairé, ses mur était cachés par le nombre hallucinant de patins qui s'y trouvait. Grandeur nature, ces poupées vous fixait de leur yeux vides, et il y en avait toujours une qui vous ressemblait de façon plus que troublante. Seuls quelques privilégié peuvent en voir la fin.
[n'entrez pas sans une très bonne raison...]